Sur les routes ibériques, le Bernois cherchera à 24 ans à trouver un peu de constance, condition sine qua non pour prétendre se classer dans le haut du classement des épreuves de 3 semaines. 

Mäder ne se sent pas si éloigné de nouveau statut. « Il me manque encore de la constance« , souligne le participant aux JO de Tokyo.

Il s’agira de son 3e départ dans un grand tour. Il se remémore avec plaisir ses débuts l’an dernier sur cette même Vuelta où il avait arraché la 2e place dans l’avant-dernière étape en montagne à La Covatilla. Ce fut son premier coup d’éclat chez les professionnels.

Au service de Landa

Toutefois, Mäder ne devrait pas bénéficier des mêmes libertés au cours de la présente édition. L’équipe Bahrain-Victorious compte dans ses rangs un des favoris pour la victoire finale avec Mikel Landa. Le premier devoir du Bernois sera de se mettre au service de l’Espagnol.

ats/tai